Canal de Panama ! PONT DES AMERIQUES -écluses - Côté" Carïbes >> sortie Christobal ( écluse) -côté Pacifique  Balboa - Miraflorès - Gatun  le canal de Panama quel ouevre magistral ! voir sur site >> la construction !             Il était une fois .. un marin de commerce -Bob  pendant des années il a silonné les mers du Monde ! j'ai connu aussi d'autres marins - La Royale ( maris) et voileux bref - des filochards - des bourlingueurs et toujours l'appel du large, ailleurs - les ports - et le reste à l'aventure ! mets ton sac à terre - Marin - je ne vais pas t'attendre toute ma vie ! j'ai déjà trop attendu et pour "des hommes " qui n'en valaient pas la peine et pourtant - femme de marin, femme de chagrin -souvent ! forte personnalité aussi et parfois elles s'envolent ! je raconterai la suite un jour peut-être ! là c'est Bob ! canal de Panama passé 85 fois entre Océan Pacifique et Atlantique -mer des Caraïbes ; il a roulé sa bosse et le reste ! lol ! je regarde partir , à Brest - mais oublié quel bateau ! l'Ouragan, l'Orage, ou des avisos - des remorqueurs de haute -mer ! et j'en passe ! assise sur une "b***" d'amarrage lol plus souvent à s'occuper des enfants et de tout ! vive les femmes de marins ! soyez bénis les filles ! port des docks ! sniff ..

Jour de spleen -  paroles de la chanson de Léo Ferré -La mémoire et le mer !  et avec le temps va, tout s'en va, alors vraiment avec le Temps on aime plus ! la mer toujours .. "fille du bord de mer" a le blues .. Jolana- joelle ! fleur fanée, c'est certain .. folle jeunesse tiens qui nous laisse ... que ! et des regrets ... ou non .. la vie continue

* La marée, je l'ai dans le coeur

Qui me remonte comme un signe

Je meurs de ma petite soeur

De mon enfant et de mon cygne

Un bateau, çà dépend comment

On l'arrime au port de justesse

Il pleure de mon firmament

Des années lumières et j'en laisse

Je suis le fantôme de Jersey

Celui qui vient les soirs de frime

Te lancer la brume en baiser

Et la ramasser dans ses rimes

Comme le trémail de juillet

Où luisait le loup solitaire

Celui que je voyais briller

Aux doigts du sable de la terre

Rappelle-toi ce chien de mer

Que nous libérions sur parole

Qui gueule dans le désert

Des goémons de nécropole

Je suis sûr que la vie est là

Avec ses poumons de flanelle

Quand il pleure de ces temsp là

Le froid tout gris qui nous appelle

Je me souviens des soirs là-bas

Et des sprints gagnés sur l'écume

Cette bave des chevaux ras

Au raz des rocs qui se consomment

Ô ange des plaisirs perdus

Ô rumeurs d'une  autre habitude

Mes désirs dès lors ne sont plus

Qu'un chagrin de ma solitude

Et le diable des soirs conquis

Avec ses pâleurs de rescousse

Et le squale des paradis

Dans le milieu mouillé de mousse

Reviens fille verte des fjords

Reviens violon des violonades

Dans le port fanfarent les cors

Pour le retour des camarades

Ô parfum rare des salants

Dans le poivre feu des gerçures

Quand j'allais, géométrisant

Mon âme au creux de ta blessure

Dans le désordre de ton cul

Poissé dans des draps d'aube fine

Je voyais un vitrail de plus

Et toi fille verte, mon spleen

Les coquillages figurant

Sous les sunligts cassés liquides

Jouent de la castagnette tant

Qu'on dirait l'Espagne livide

Dieux des granits, ayez pitié... lire la suite sur google